La g@zette du SNSP

La lettre d'information électronique des professionnels de santé publique
Edité par le Syndicat National des Spécialistes de Santé Publique
Numéro 21 - 30 novembre 2000

Au sommaire de ce numéro Le SNSP sur le WEB
Editorial Congrès et formations : nouveautés Historique du SNSP Les Commissions de qualification
Les chroniques du SNSP Journal Officiel : les nouveautés Statuts du SNSP Journal Officiel : références classées
Informations professionnelles Emploi : les nouveautés Organigramme du SNSP Emploi : références classées
A découvrir sur le Web file:///C:/WINDOWS/TEMP/Snj021.htm#PUBLI L'annuaire du SNSP Congrès et formations : références classées
Nouvelles publications file:///C:/WINDOWS/TEMP/Snj021.htm#INFOPRA Informations pratiques Sélection classée de liens



Editorial

Europe et santé publique, santé publique et droits de l’homme...

L’Europe, tout d’abord : l’effervescence actuelle que connaissent les instances européennes, comme une "réaction en chaîne" à propos de la vache folle et des farines animales (dont nous continuerons à parler), amènera-t-elle la mise en oeuvre, enfin, d’une véritable politique européenne de santé publique ?

Ne soyons pas naïfs (nous sommes nés bien avant l’interdiction des farines...) : certes, comme le prévoit l’article 152 du Traité sur les Communautés Européennes, dans son titre XIII intitulé "santé publique", "un niveau élevé de protection de la santé humaine est assuré dans la définition et la mise en oeuvre de toutes les politiques et actions de la Communauté".

Cependant, le Traité précise bien qu’en matière de santé publique, "Le Conseil [...] contribue à la réalisation des objectifs [...] en adoptant [...] des actions d'encouragement visant à protéger et à améliorer la santé humaine, à l'exclusion de toute harmonisation des dispositions législatives et réglementaires des États membres".

C’est en se fondant sur ces dispositions que la Cour de Justice des Communautés Européennes, dans un arrêt du 5 octobre 2000, a annulé la directive 98/43/CE relative à la publicité et au parrainage en faveur des produits du tabac, laquelle prévoyait l’interdiction de toute forme de publicité ou de parrainage avant le 30 juillet 2001. La Cour relève, dans une argumentation très fine, qu’il s’agit de mesures "en grande partie inspirées par des objectifs de politique de la santé publique", et que le fondement juridique pris par le Conseil et le Parlement (éliminer les entraves à la libre circulation des marchandises et à la libre prestation des services, et les distorsions de concurrence) est erroné : "le recours à d’autres articles du traité comme base juridique ne saurait être utilisé pour contourner l’exclusion expresse de toute harmonisation énoncée...". La Cour note cependant que l’interdiction de "certaines" formes de parrainage ou de publicité aurait pu être édictée, mais par une disposition générale.

La messe est dite ! Quelles que soient les bonnes volontés, la définition d’une véritable politique de santé publique se heurtera donc toujours, en l’absence de nouvelle modification du Traité, au principe de subsidiarité. Et finalement, aborder les questions de santé publique sous des angles particuliers comme celui de la sécurité des consommateurs "justifie" qu’elles soient parcellisées et gérées par des ministères techniques autres que celui de la santé...

Droits de l’homme, ensuite (sans hiérarchie autre que celle des hasards du calendrier). C’est le 16 décembre 2000 que le Professeur Moncef Marzouki (cf. g@zette n°18) est convoqué au tribunal de première instance de Tunis. Jeudi 14 décembre à 18 heures, aux journées de la Société Française de Santé Publique et de la Fédération Européenne des Sociétés de Santé Publique (EUPHA) qui auront lieu à la Cité de la Villette, sera lu le texte de la communication demandée au Professeur Marzouki, et un Comité Européen de soutien sera constitué. Avec l’autorisation des auteurs et du Rédacteur en Chef de la Revue "Santé Publique", que je remercie, vous lirez ci-dessous l’éditorial du numéro 3 (octobre 2000) de cette revue, intitulé "Droits de l'homme et santé publique", consacré à cette affaire. Le SNSP continue naturellement de s’associer aux démarches internationales qui visent à soutenir le Pr. Marzouki. Pour toute participation personnelle, contactez Virginie Halley des Fontaines.

Dr. Louis Lebrun, Président du SNSP


Les chroniques du SNSP

VERS UNE ASSOCIATION DES HOPITAUX DE FRANCE ?

(Seconde et dernière partie)

Mode organisationnel en commissions de programme et en conférences régionales :

a) Commissions de programme

Les commissions de programme de l’A.H.Q fournissent des avis au Conseil d’Administration de l’A.H.Q sur toute question relative aux programmes-clientèles dont elles ont la responsabilité.
Une commission de programme est ainsi établie pour chacun des programmes-clientèles suivants :

- personne âgée,
- centres hospitaliers de soins généraux et spécialisés (santé physique),
- santé mentale,
- toxicomanie,
- établissements multivocationnels.

Ces commissions de programme ont aussi comme mandat d'assister les établissements membres de l'Association dans l'élaboration, la mise en place et la gestion de programmes de soins et de services bien adaptés aux besoins des clientèles visées.

b) Conférences régionales : 15 au total

Par conférence régionale, il faut comprendre l'ensemble des établissements membres de l’A.H.Q situés dans une même région administrative. Ces établissements sont représentés par des délégués désignés par chaque conseil d'administration local.
Ces conférences seraient une sorte de fusion de nos conférences régionales des directeurs d’hôpital avec celles des présidents de C.M.E.

Rôle des conférences régionales :

- Analyser et résoudre les problématiques financières, techniques ou organisationnelles jugées prioritaires par les membres d'une même conférence.
- Mettre en place divers mécanismes de concertation visant à créer une véritable dynamique régionale de façon à dégager, entre les établissements, un large consensus d'opinion sur les problématiques majeures qui prévalent dans la région.

Les consensus observés dans ces conférences régionales servent de base à la représentation (sorte de lobbying) auprès de chaque Régie Régionale concernée. Notons que les Régies Régionales Sanitaires et des Services Sociaux, dont on s’est inspiré pour créer nos ARH, ressemblent à nos futures Agences Régionales de Santé comprenant hospitalisation, ambulatoire et médico-social. L’ensemble des travaux des conférences régionales permet "d'élaborer et de véhiculer, au plan national, la vision et les valeurs du membership".

Il existe d’autres niveaux de décisions et de travail non développés ici pour des raisons de concision (se reporter au site Internet de l’A.H.Q pour plus d’information).

Services faisant l’objet d’une tarification. Il s’agit :

- de l’élaboration de guides et de documents
- participation au Congrès annuel (tarification dégressive)
- participation à des colloques et formations
- d’assistance personnalisée...

3) Budget de l’A.H.Q

Au 31 décembre 1998, les revenus s’élevaient à 6 772 194 $ (dont le tiers provient des « cotisations ») tandis que les dépenses s’élevaient à 6 363 104 $ (dont la moitié en rémunération du personnel)(NB : 1 $ canadien correspond à environ 4,75 F français).


B) VERS UNE ASSOCIATION DES HOPITAUX DE FRANCE (A.H.F) ?

Cette idée très intéressante est malheureusement non transposable dans l’immédiat, ne serait- ce que pour les 3 raisons suivantes :

- Quel statut juridique pour l’A.H.F ? Contrairement au Québec, en France coexistent, pour simplifier, un secteur public et un secteur privé. Et même si un Groupement d’Intérêt Public se mettait en place, les intérêts justement de ces deux partenaires (public et privés) sont si différents voire souvent opposés qu’il est difficile de concevoir une once d’esprit de santé communautaire.
- Quelle représentation pour l’A.H.F ? Le secteur hospitalier est balkanisé, morcelé en structures de représentation jalouses de leurs prérogatives : conférence des directeurs de C.H.U, conférence des directeurs de C.H, conférence des présidents de C.M.E de C.H.U, conférence des présidents de C.M.E de C.H.U, Union de l’Hospitalisation Privée, Fédération des Etablissements d’Hospitalisation et d’Assistance Privée à but non lucratif, Fédération Intersyndicale des Etablissements d’Hospitalisation Privée… Ceux qui ont voulu monter des projets d’étude (ou autres) interhospitaliers savent par quels chemins redondants il faut passer avant d’arriver au Saint Graal.
- La législation française ne permet pas la constitution de bases de données aussi précises que celle du Québec. Le P.M.S.I est de la responsabilité de chaque établissement (via son D.I.M), la gestion nationale et centralisée (codage) est impossible même si une base nationale est constituée.

Des expérimentations existent déjà en France. L’exemple du C.C.E.C.Q.A (qui a dépassé le stade de l’expérimentation) est un modèle de ce qui peut se faire en France, certes à une échelle plus modeste. Le Centre de Coordination de l’Evaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine (qui fera l’objet d’un prochain article) coordonne un peu plus de 40 établissements de santé publics et deux ou trois privés lucratifs depuis fin 1996.

Cependant, on peut se prendre à rêver : un équivalent C.C.E.C.Q.A au niveau de chaque région pourrait aboutir in fine à la réunion de ces 22 structures en une A.H.F

Alain Bérard


Informations professionnelles


Communiqué de presse du SNPAC concernant les gardes des associés - 20 novembre 2000

Le SNPAC prend acte de l'annulation - longtemps réclamée et enfin officielle - de l'arrêté de 27 janvier 2000 qui baissait la rémunération des gardes des praticiens associés mais constate avec regret que la tutelle n’a pas pris en considération sa demande de rémunérer les gardes des praticiens associés, au même taux que les praticiens à diplôme français.

Ainsi, le nouvel arrêté en préparation semble indiquer que les gardes des attachés associés et des assistants associés ne seront rémunérées qu’à hauteur de 85 % de celles des praticiens titulaires, alors qu’ils accomplissent le même travail et assument les mêmes responsabilités. Ceci est une mesure injuste et inacceptable.

Sur ce dossier, ainsi que sur d'autres revendications (qualifications des PAC, transformation des postes PAC en postes PH, représentation des PAC à la CME, l’arrêté du 23 mars 2000 qui restreint de manière drastique l’accès aux épreuves de PAC, et le problème des chirurgiens dentistes ), le SNPAC constate une situation de statut quo voire de blocage qui, si elle perdurait, pourrait l'amener à engager très prochainement des actions d’envergure, pour faire aboutir ses revendications.

Le SNPAC rappelle son profond attachement au principe républicain "à travail égal, et à responsabilité égale, salaire égal" et demande qu’il soit pleinement appliqué à tous les praticiens participants au bon fonctionnement du service public.

Le SNPAC rejette l’idée de faire perdurer les statuts précaires de l’hôpital en France.

A ce sujet, le SNPAC demande la suppression pure et simple du statut d’"associé" et son remplacement par un statut plus juste et plus stable à partir de 2002.

Le Bureau National du SNPAC

NDLR : Le SNSP soutient le SNPAC dans cette action.

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Droits de l’homme et Santé Publique, de Jonathan Mann à Moncef Marzouki

le texte ci-dessous est la reproduction de l’éditorial du numéro 3 (octobre 2000) de la Revue "Santé Publique", avec l’aimable autorisation des auteurs et de la Rédaction de cette revue

Le 27 Juillet dernier, le Professeur Moncef Marzouki, professeur de médecine communautaire à la Faculté de Médecine de Sousse (Tunisie) a été licencié de son poste d’enseignant.

Dans tous les milieux francophones de la santé publique au Québec et en France notamment, et sans doute bien au delà, Moncef Marzouki est admiré et respecté. Il est respecté d’abord pour le travail qu’il a accompli à Sousse dans le champ de la santé communautaire et de son enseignement. Pendant des années, jusqu’à ce que les autorités tunisiennes y mettent fin en 1994, Sousse a été, dans le monde, une des expérimentations les plus dynamiques d’une approche de la santé publique vraiment fondée sur un autre type de relations entre les médecins et la population. L’action, l’enseignement et les écrits de Moncef Marzouki restent des modèles pour nous tous.

Moncef Marzouki est respecté pour une autre raison : son combat acharné pour les droits de l’homme. Le combat d’un médecin, d’abord en faveur des droits de l’enfant. Moncef Marzouki est membre de l’International society of child abuse and neglect (IPSCAN), fondateur de l’African network for prevention of child abuse and neglect, titulaire du prix Henri Kempe de l’IPSCAN pour son action en faveur de l’enfance africaine. Le combat d’un citoyen, ensuite. De 1989 à 1994, Moncef Marzouki a présidé la ligue tunisienne des droits de l’homme ; il est le porte parole du Conseil national pour les libertés en Tunisie (CNLT), membre du comité directeur de l’Organisation arabe des droits de l’homme.

Mais bien sûr, le médecin et le citoyen ne font qu’un. Un des premiers, Moncef Marzouki, dans une publication du Réseau international francophone pour la promotion de la santé (REFIPS) a montré que le respect des droits humains est une condition préalable à la santé des populations. En 1994, il écrivait que "C’est le déséquilibre, ou l’absence des droits socio-économiques, politiques et individuels qui est le facteur principal de "l’élection" au sud des populations à risque pour la maladie, le mal-être et l’indignité [...]. On ne verra jamais un état complet de bien-être physique, mental et social chez une personne n’ayant pas accès à la culture, la liberté politique, la justice..." (1).

A cet égard, Moncef Marzouki était bien de la même trempe que Jonathan Mann, auquel notre revue a rendu hommage en 1998 en publiant, de façon posthume, son texte magnifique sur "Santé publique : éthique et droits de la personne", où il déclarait notamment qu’ "à travers leur focalisation sur les déterminants sociétaux du bien-être, les droits de la personne offrent à la santé publique un cadre, un vocabulaire et un guide pour l’analyse et pour la réponse directe aux déterminants sociétaux de la santé plus utile que n’importe quel cadre de références hérité de la tradition biomédicale ou de santé publique passée" ; ou encore que : "promotion et protection des droits de la personne, et promotion et protection de la santé, sont indissociables" (2).

Voilà pourquoi, alors qu’elle ne se reconnaît aucun droit d’intervenir dans la politique tunisienne, la revue Santé publique a le devoir aujourd’hui, comme d’autres l’ont fait auparavant (3)(4), de soutenir le combat de citoyen et de médecin de Moncef Marzouki. Nous ne pouvons pas nous satisfaire des motivations annoncées du licenciement de Moncef Marzouki de son poste d’enseignant : l’ "absence injustifiée"... Privé de son passeport depuis plusieurs années, et venant de se le voir restitué, il a accompli, pour le compte du CNLT, une mission d’information en Europe et en Amérique du Nord. Aucune université, aucune autorité sanitaire dans le monde, n’a jamais licencié un enseignant brillant, sérieux, reconnu pour "absence justifiée"... A fortiori après lui avoir enlevé la plus grande partie de ses fonctions. Il faut rappeler que jamais depuis 1994, le Professeur Marzouki n’a été autorisé à aller recevoir, à l’étranger, les distinctions qui lui avaient été décernées par des sociétés professionnelles ou des mouvements humanitaires.

La santé publique, dans tous les pays, a un grand besoin de la "présence justifiée" de Moncef Marzouki sur le terrain des droits de l’homme. Ou alors l’idée même d’une éthique de la Santé Publique deviendrait vide de signification. Comme serait vide de sens la charte d’Ottawa qui, parmi les conditions fondamentales de la santé, cite "la paix, [...] la justice sociale et l’équité".

Jean-Pierre Deschamps
Virginie Halley des Fontaines

1- MARZOUKI M. : Promotion de la Santé, une vision du Sud. In "Promouvoir la santé". Montréal, Réseau Francophone international pou la promotion de la santé, 1994, 19-38.
2- MANN J. : Santé publique : éthique et droits de la personne - Santé publique 1998, 10 : 239-50.
3- WELSH J. Health and human rights : persecution of Tunisian doctor. The Lancet 1996, 348 : 1499.
4- Le 21 Septembre 2000, l’Université Pierre et Marie Curie - Paris VI, Institut Santé et Développement, a organisé autour de Moncef Marzouki une amicale manifestation de soutien.


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Pour préparer la discussion sur le projet de loi sur la modernisation du système de santé, qui traitera de plusieurs questions relatives aux droits des malades, parmi lesquelles l'accès direct au dossier médical, le Sénat présente sur son site internet un dossier comparant "l'information des malades et l'accès au dossier médical" dans cinq pays européens (Allemagne, Belgique, Danemark, Grande Bretagne et Pays-Bas).

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Les impertinences de Stéphane Bouges

C'est LE titre presse ces jours-ci, avant la journée mondiale consacrée à la lutte c/ le sida. D'ailleurs pensez à aller sur www.invs.sante.fr/publications/sida2000/sida2000.htm et sur www.invs.sante.fr/publications/sida2000/surv_vih_europe.htm pour prendre connaissance des chiffres.
Je ne pense pas que vous y échappiez de votre côté non plus, mais un professionnel de SP averti en vaut bien deux, alors...voici :
- Explosion de l'épidémie de sida en 2000 (Le Figaro, Les Échos, Financial Times, Le Quotidien du Médecin, Le Monde - 29 novembre 2000)

Selon les chiffres du sida publiés hier par l'Onusida, 36,1 millions de personnes dans le monde vivent avec le VIH et plus de 5 millions de personnes ont encore été contaminées cette année. L'épidémie explose en Europe de l'Est, alors que la progression massive de la pandémie semble, pour la première fois, enrayée en Afrique. Dans les colonnes du Monde, Peter Piot, directeur général d'Onusida, rappelle qu' "il faut un "New Deal", un pacte entre les multinationales de l'industrie pharmaceutique et les pays les plus touchés. Les règles de l'économie libérales sont devenues incompatibles avec la mondialisation de l'épidémie de sida." A noter également l'article consacré par Le Monde à l'accord de réduction des prix des antiviraux conclu, le mois dernier, par Bristol-Myers Squibb, Merck&Co, Glaxo Wellcome, et Boehringer-Ingelheim, avec le Sénégal.

Pour ceux qui auraient envie d'aller respirer les vapeurs des cuves de chimiquiers échoués dans le Channel, voici peut-être un lien intéressant :
LE STYRÈNE ou vinylbenzène ou phényléthylène : fiche toxicologique
Dr Nathalie DELAUNAY (Médecin du Travail) AIMT du Bas-Rhin
production et utilisation - propriétés physiques et chimiques - le métabolisme : voie d'absorption, distribution et stockage, métabolisme, élimination du styrène - toxicité : expérimentations animales, toxicologie humaine, mutagenèse, cancérogenèse, embryotoxicité, tératogénicité - évaluation des niveaux d'exposition : métrologie atmosphérique, surveillance biologique.
www.aimt67.org/dossier/styrene.htm

Dans la rubrique "révoltant" ou comment achète-t-on un rapport favorable pour justifier l'injustifiable :
- Visiteurs médicaux : un Livre blanc répond aux détracteurs de la profession (Le Quotidien du Médecin - 29 novembre 2000) L'Association des directeurs de réseau de visite médicale (ADREV) vient de publier le Livre blanc de la visite médicale. Ce dernier est le résultat des débats organisés par la société Alain Collomb Stratégies, qui ont réuni médecins, pharmaciens, industriels du médicament, représentants de l'assurance-maladie et économistes de la santé. Il met notamment en avant le rôle économique de la visite médicale et sa mission d'information des médecins.

Enfin, pour terminer, une note "optimiste" à destination des papys qui font de la résistance en Santé Publique (pas de nom, pas de nom...) :
- Des concurrents pour le Viagra® (Financial Times- 29 novembre 2000)

Cialis® , médicament développé par Eli Lilly et Icos Corporation, et le Vardenafil de Bayer seront-ils les prochains concurrents du Viagra® ? Selon les résultats d'essais cliniques présentés en Australie, Cialis® aurait démontré son efficacité chez 85 % des patients tandis que Bayer annonce avoir obtenu des résultats encourageants dans ses première séries de tests.

Quand les hôpitaux se gavent, les oies de la Santé publique crient famine...

Le ministère de la Solidarité a rendu public le 23 novembre la répartition de la campagne budgétaire 2001 des établissements de santé financés sous budget global. Les dotations hospitalières régionalisées augmenteront en moyenne de 3,06 % (France entière), soit un niveau supérieur au taux de 2,24 % délégué cette année (lire Afim n° 1308 du 2 novembre 1999). Un montant moyen de 0,3 % sera attribué ultérieurement pour financer des mesures nationales spécifiques, notamment une "provision devant permettre de financer, en tant que de besoin, les mesures de personnel, générales et catégorielles en cours de négotiation", indique un communiqué du ministère. Comme en 1999 et en 2000, la politique d’allocation de ressources pour 2001 "poursuit l’effort de réduction des inégalités entre régions et entre établissements". Les taux d’évolution des dotations varient ainsi de 1,97 % pour l’Ile-de-France à 4,99 % pour le Poitou-Charentes, avec un "effort supplémentaire" pour les régions d’outre mer qui bénéficient d’un taux moyen de 5,14 %.

Voici l’évolution des dotations région par région de 2000 à 2001 :

Alsace : + 3,2 %
Aquitaine : + 3,07 %
Auvergne : + 3,07 %
Bourgogne : + 3,49 %
Bretagne : + 3,26 %
Centre : + 3,5 %
Champagne-Ardenne : + 3,25 %
Corse : + 3,18 %
Franche-Comté : + 3,58 %
Ile-de-France : + 1,97 %
Languedoc-Roussillon : + 2,95 %
Limousin : + 3,21 %
Lorraine : + 3,06 %
Midi-Pyrénées : + 2,72 %
Nord-Pas-de-Calais : + 4,11 %
Basse-Normandie : + 3,26 %
Haute-Normandie : + 3,41 %
Pays-de-la-Loire : + 3,3 %
Picardie : + 4,81 %
Poitou-Charentes : + 4,99 %
Provence-Alpes- Côte d’Azur : + 2,55 %
Rhône-Alpes : + 3 %
Guadeloupe : + 5,31 %
Guyane : + 5,2 %
Martinique : + 5,06 %
Réunion : + 5,06 %

Stéphane Bouges


A la découverte du Web médical & santé publique

Le site de la semaine : http://www.opri.fr/

L'Office de Protection contre les Rayonnements Ionisants (OPRI) est une des agences de sécurité sanitaire. Créée en juillet 1994, avec le statut d'établissement public à caractère administratif et 125 millions de francs de budget en 2000, ses missions sont l'expertise, la surveillance et le contrôle de la radioprotection en France.

Le site dont la présentation "simple et de bon goût" permet une navigation aisée et agréable fait le point sur les problématiques liées aux rayonnements ionisants, expose les différents principes de surveillance prévus par le ministère public et permet la consultation des résultats de cette surveillance. Les autres missions de l'agence sont également abordées avec suffisamment de détails pour faire la lumière sur un sujet sensible et jusqu'à lors souvent opaque en France : la surveillance de la radioactivité. Dans un soucis affirmé de transparence, un vrai forum autorise également aux internautes l'accès direct aux scientifiques de l'OPRI.

N'oubliez pas de remplir la grille, et bonne visite !

Norbert Nabet

Evaluation du site - mode d'emploi

Chaque semaine, nous vous proposons de découvrir un site médical ou lié à la santé publique. Ce site est présenté par un court commentaire. Vous pouvez nous faire part de votre appréciation, d'une part selon une grille simplifiée (voir ci-dessous), d'autre part sous la forme d'un commentaire libre. Ces appréciations seront synthétisées et publiées dans le numéro suivant de la G@zette.

Utilisation de la grille : Analysez dans un premier temps le site selon la grille ci dessous en créditant chaque item d’une note sur 20. Puis communiquez-nous votre appréciation en associant, sur votre message, une notre à chaque critère (ex. 1=15, 2=11, etc.) N'hésitez pas à associer une appréciation littérale à votre notation.

    Note / 20
  1. pertinence et qualité de l'information
  2. fréquence de la mise à jour
  3. organisation logique de la navigabilité
  4. clarté de l’information disponible
  5. qualité du design du site
  6. lisibilité du texte et des images
  7. qualité et quantité des liens sélectionnés
  8. qualité de l’interactivité et de l’aspect multimédia : forums, chats, son, image
  9. respect de la déontologie médicale : secret médical et de la confidentialité

Congrès, formation continue

(retrouvez les coordonnées des organismes de formation sur notre site dans la rubrique "Organismes de formation")

LE DOSSIER DU PATIENT A L'HOPITAL - GESTION ET NOUVELLES PERSPECTIVES

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 11 et 12 décembre 2000
Coût : 4500 F (adhérents au CNEH), 5000 F (non adhérents)
Contact : CNEH

CONCEVOIR ET METTRE EN PLACE UNE DEMARCHE QUALITE DANS UN ETABLISSEMENT DE SOINS POUR PERSONNES AGEES

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 18 et 19 décembre 2000
Coût : 4500 F (adhérents au CNEH), 5000 F (non adhérents)
Contact : CNEH

INTERNET ET LES ETABLISSEMENTS DE SOINS

Durée : 1 jour
Lieu : Paris
Date : 19 janvier 2001
Coût : 3 500 F TTC
Contact :
Internet - Santé
B66 rue de provence - 75009 Paris
Téléphone : 01 44 53 05 55
Télécopie : 01 44 53 04 44
mailto:info@internet-sante.com http://www.internet-sante.com/

ANALYSE DES BESOINS : APPLICATION A L'INFORMATIQUE ET AUX EQUIPEMENTS

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 25 et 26 janvier 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

L'INFORMATIQUE : INITIATION POUR LES NON-SPECIALISTES

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 8 et 9 février 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

VALIDATION DANS LES INDUSTRIES DE SANTE : PRINCIPES GENERAUX

Durée : 1 jour
Lieu : Paris
Date : 13 février 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

ENREGISTREMENTS ET SIGNATURES ELECTRONIQUES

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 15 et 16 février 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

VALIDATION DES SYSTEMES INFORMATISES

Durée : 3 jours
Lieu : Paris
Date : du 21 au 23 février 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

L.I.M.S. : SYSTEME DE GESTION DE L'INFORMATION DU LABORATOIRE

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 27 et 28 février 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

CONDUITE DE PROJET INFORMATIQUE

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 1er et 2 mars 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

VALIDATION DES SYSTEMES AUTOMATISES, EQUIPEMENTS ET PROCEDES

Durée : 3 jours
Lieu : Paris
Date : du 7 au 9 mars 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

L'ACTUALITE REGLEMENTAIRE DES DISPOSITIFS MEDICAUX

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 13 et 14 mars 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

L'ANALYSE DE RISQUES APPLIQUEE AUX DISPOSITIFS MEDICAUX

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 15 et 16 mars 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

VALIDATION DES PROCEDES DE NETTOYAGE

Durée : 1 jour
Lieu : Paris
Date : 21 mars 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

METTRE EN PLACE UN SYSTEME QUALITE INFORMATIQUE

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 22 et 23 mars 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

CONDUITE DE PROJET : LES CLES DU SUCCES

Durée : 1 jour
Lieu : Paris
Date : 5 avril 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

LA METROLOGIE

Durée : 1 jour
Lieu : Paris
Date : 19 avril 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

VALIDATION DES SYSTEMES INFORMATISES

Durée : 3 jours
Lieu : Paris
Date : du 6 au 8 juin 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

TECHNIQUES DE TEST INFORMATIQUES ET RECETTE DE LOGICIELS

Durée : 3 jours
Lieu : Paris
Date : du 13 au 15 juin 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

ENREGISTREMENTS ET SIGNATURES ELECTRONIQUES

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 21 et 22 juin 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

VALIDATION DES SYSTEMES AUTOMATISES, EQUIPEMENTS ET PROCEDES

Durée : 3 jours
Lieu : Paris
Date : du 27 au 29 juin 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

METTRE EN PLACE UN SYSTEME QUALITE

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 10 et 11 juillet 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

ANALYSE DES BESOINS : APPLICATION A L'INFORMATIQUE ET AUX EQUIPEMENTS

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 12 et 13 juillet 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

VALIDATION DANS LES INDUSTRIES DE SANTE : PRINCIPES GENERAUX

Durée : 1 jour
Lieu : Paris
Date : 11 septembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

VALIDATION DES PROCEDES DE NETTOYAGE

Durée : 1 jour
Lieu : Paris
Date : 12 septembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

METTRE EN PLACE UN SYSTEME QUALITE INFORMATIQUE

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 13 et 14 septembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

L'ACTUALITE REGLEMENTAIRE DES DISPOSITIFS MEDICAUX

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 18 et 19 septembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

L'ANALYSE DE RISQUES APPLIQUEE AUX DISPOSITIFS MEDICAUX

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 20 et 21 septembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

L'INFORMATIQUE : INITIATION POUR LES NON-SPECIALISTES

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 25 et 26 septembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

VALIDATION DES SYSTEMES INFORMATISES

Durée : 3 jours
Lieu : Paris
Date : du 3 au 5 octobre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

GESTION ELECTRONIQUE DES DOCUMENTS DANS LES INDUSTRIES DE SANTE

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 9 et 10 octobre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

ENREGISTREMENTS ET SIGNATURES ELECTRONIQUES

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 11 et 12 octobre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

CONDUITE DE PROJET INFORMATIQUE

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 18 et 19 octobre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

TECHNIQUES DE TEST INFORMATIQUES ET RECETTE DE LOGICIELS

Durée : 3 jours
Lieu : Paris
Date : du 24 au 26 octobre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

VALIDATION DES SYSTEMES AUTOMATISES, EQUIPEMENTS ET PROCEDES

Durée : 3 jours
Lieu : Paris
Date : du 7 au 9 novembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

CONDUITE DE PROJET : LES CLES DU SUCCES

Durée : 1 jour
Lieu : Paris
Date : 13 novembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

L.I.M.S. : SYSTEME DE GESTION DE L'INFORMATION DU LABORATOIRE

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 22 et 23 novembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

LA METROLOGIE

Durée : 1 jour
Lieu : Paris
Date : 4 décembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

ANALYSE DES BESOINS : APPLICATION A L'INFORMATIQUE ET AUX EQUIPEMENTS

Durée : 2 jours
Lieu : Paris
Date : 6 et 7 décembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil

VALIDATION DES SYSTEMES INFORMATISES

Durée : 3 jours
Lieu : Paris
Date : du 12 au 14 décembre 2001
Coût : 3 500 HT (1 jour), 6 500 HT (2 jours), 9 500 HT (3 jours)
Contact : CyberConseil


L'actualité du Journal Officiel

JO n° 273 du 25 novembre 2000
- Arrêtés (3) des 2, 6 et 20 novembre 2000 portant nomination au cabinet de la ministre
- Arrêté du 20 novembre 2000 portant nomination au Conseil supérieur de la fonction publique hospitalière


Offres et demandes d'emploi

Offres d'emploi

JO n° 273 du 25 novembre 2000
- Avis de vacance du poste de médecin-conseil régional adjoint de la sécurité sociale de la région de Paris (échelle 140)

(01/12/00) Médecin information médicale

Organisation : AP-HP (hôpital Lariboisière)
Mission : Information médicale - PMSI
Profil : Spécialiste santé publique - PMSI
Emploi : 6 vacations hebdomadaires
Contact :
Dr Agnès Chabuis
Tel. 01 40 27 19 52
chabuisagnes@hotmail.com
(Période de validité : 1er décembre 2000 au 31 janvier 2001)

(01/12/00) Médecin information médicale

Organisation : Centre hospitalier de Dreux
Mission : Information médicale - PMSI court, moyen séjour et psychiatrie
Profil : Spécialiste santé publique - PMSI
Emploi : Praticien hospitalier temps plein avec chefferie de service
Contact :
Dr Leila Moret
DIM - CHG V. Jousselin
BP 69 - 28102 - Dreux cedex
Tel. 02 37 51 51 36
leila.moret@wanadoo.fr
(Période de validité : 1er décembre 2000 au 31 janvier 2001)

(01/12/00) Médecin information médicale

Organisation : AP-HP (hôpitaux Robert-Debré et Beaujon)
Mission : Information médicale - Qualité de l'information, contexte de participation à l'échelle nationale des coûts
Profil : Spécialiste santé publique - PMSI
Emploi : Vacations à temps-plein, en partage sur deux établissements
Contact :
Dr Pierre Rufat
Cellule MSI - Pavillon Sergent - Hôpital Beaujon
100, boulevard du Général-Leclerc - F92118 Clichy
Tel. 01.40.87.53.42
pierre.rufat@bjn.ap-hop-paris.fr
(Période de validité : 1er décembre 2000 au 31 janvier 2001)

(01/12/00) Médecin information médicale

Organisation : Centre hospitalier de Remirement (Vosges)
Mission : Information médicale
Profil : Spécialiste santé publique - PMSI
Emploi : Assistant spécialiste. Disponible
Contact :
Madame le docteur Duvernoy
SIM - Centre hospitalier
1, rue Georges Lang - B.P. 161
88204 REMIREMONT Cedex
Tél : 03.29.23.40.78
helene.duvernoy@wanadoo.fr
(Période de validité : 1er décembre 2000 au 31 janvier 2001)

(01/12/00) Médecin de santé publique

Organisation : Le Figaro
Mission : traitement de données relatives au système de santé et rédiger les articles sur le sujet.
Profil : Docteur en médecine, bonne connaissance des logiciels de statistiques, appétence pour le journalisme et l'écriture.
Emploi : N.C.
Contact :
Monsieur Philippe Doucet
p.doucet@le-figaro.com
(Période de validité : 1er décembre 2000 au 31 janvier 2001)

Demandes d'emploi

(01/12/00) Chargée de projet-formateur-conseil-évaluateur en éducation à la santé

Qualification : DEA en Sciences de l'éducation, systèmes d'apprentissage et systèmes d'évaluation, Université de Provence (Mentions bien), admissible en thèse, sur la problématique de la santé communautaire et changement social (2000)
DESS Promotion et développement de l'éducation à la santé, Université de Provence (Mention bien), 1999
Maitrise de sociologie, Université de Rennes II, 1991
Licence d'ethnosociologie, Université de Rennes II, 1990
Expériences : Enseignement-Intervention, pour les maîtrises et les DESS à l'université de Provence
Fonction d'éducatrice spécialisée secteur toxicomanie-sida, à Marseille, dans deux structures, sleep In et Entr'acte, animation, encadrement, évaluation, conseil.
Expériences antérieures dans le marketing, communication, presse, commercial.
Esprit de décision, goût du challenge, qualités relationnelles, organisationnelles, capacités d'analyse de synthèse et rédactionnelles, Travail en équipe, adaptabilité, polyvalence, autonomie. Préférence pour la région PACA, mais ouverte à toutes propositions. CV détaillé disponible sur demande.
Travail en équipe souhaité, à Paris ou région Parisienne. Disponible à partir de la mi-décembre
Contact :
Sophie PAULAY
40 traverse du Moulin de la Villette - 13003 Marseille
Téléphone : 04.91.64.99.76
sophie.paulay@mageos.com
(Période de validité : jusqu'au 31 janvier 2001)


Nouvelles publications

Aux éditions des Journaux officiels :

Rapport de l'Assemblée nationale : Les OGM : pour quoi faire ?
Rapport présenté par Marie-Hélène AUbert
n° 40799 2538 - 40 F

La faune et la flore - Protection de la nature
Recueil de textes législatifs et réglementaires
n° 31680 0000 - 190 F

Rapport de l'Assemblée nationale : Après l'Erika, l'urgence.
Rapport présenté par Jean-Yves Le Drian.
Tome I : Rapport. n° 40799 8622 - 70 F
Tomes I et II : Rapport et auditions (4 volumes). n° 40799 8623 - 220 F

Code de la santé publique
n° 20049 0000 - 235 F

Rapport de l'Assemblée nationale : L'indispensable réforme des COTOREP
Rapport présenté par Pierre Forgues
n° 40799 2542 - 50 F

Rapport du Sénat : Sécurité sanitaire : Etat des lieux et perspectives en France et en Europe.
Une journée d'auditions publiques (sous la présidence de Jean Delaneau)
n° 40999 0445 - 35 F

Rapport de la Cour des comptes : la sécurité sociale
n° 34398 0000 - 124 F


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